Ce mercredi 23 novembre, le quotidien 20 Minutes publiait un article concernant l’affaire de violences conjugales entre Aya Nakamura et son ex-conjoint, Vladimir Boudnikoff.
L’objet de l’article était de rappeler les évènements d’août dernier mettant en scène le couple, à la veille de leur audience.
En effet, celle-ci doit se tenir le 24 novembre au tribunal correctionnel de Bobigny.
Jusqu’ici, rien d’extraordinaire… à un détail près.
En regardant la photo illustrant l’article, on peut se rendre compte qu’il ne s’agit pas d’Aya Nakamura, mais de Fatou Guinea.
Si Aya Nakamura n’a pas réagi, Fatou Guinea, en revanche s’est exprimée sur son compte Instagram. Loin de laisser passer cela, la jeune influenceuse, révoltée, a décidé d’attaquer le journal en justice.
Elle a donc publié il y’a quelques heures un communiqué de presse rédigé par son avocat.
Celui-ci considère que l’amalgame est raciste et que le journal aurait dû être en mesure de différencier les deux femmes.
Par ailleurs, il considère qu’au vu de la nature des faits, cette confusion “porte gravement atteinte” à sa cliente.
Ci-dessous, le communiqué de presse:
Depuis, le journal a rectifié son erreur.
Votre avis: Pensez-vous que Fatou Guinea ait raison d’aller jusqu’à porter l’affaire en justice?
Cet article a été publié le 24 novembre 2022 0h29
Commentaires
Bien sur qu'elle à raison de porter plainte. Une simple recherche google aurait suffit pour identifier Aya Nakamura.
Il y avait clairement volonté de nuire. Et cela aurait été une artiste blanche qu'on aurait confondu pour de telle fait la question de porter plainte ou non ne ce serait même pas poser.